Le Partenariat d’essai pilote sur la gestion et la budgétisation de l’éducation médicale est une initiative de suivi de la première sous-composante C1 du Projet de transfert de technologie et de réforme institutionnelle des services de santé du Kazakhstan (KSTTRIP). À travers ce projet pilote, la Société canadienne de santé internationale (SCSI) a travaillé à la création d’une base solide pour le développement futur de la gestion de l'éducation médicale au Kazakhstan.
La gestion est un élément essentiel pour assurer l'efficacité et la performance du système d'éducation médicale au Kazakhstan. Il existe de nombreuses fonctions et situations de gestion propres à la nature complexe du sous-secteur médical. À ce jour, dans de nombreux pays, la gestion de l'éducation médicale a reçu peu d'attention, mais cela change rapidement.
Identifier et renforcer les compétences de gestion nécessaires grâce à la formation et aux approches axées sur l'action, et proposer des étapes à suivre pour améliorer les stratégies budgétaires.
La SCSI a travaillé en étroite collaboration avec le Ministère de la santé et les représentants des deux universités pilotes pour renforcer les compétences de gestion nécessaires grâce à la formation des formateurs et des approches axées sur l'action. La SCSI a également formulée des suggestions, relativement au processus de budgétisation axée sur la mission, à Karaganda State Medical University et Semey State Medical University.
Au terme du projet, les niveaux de compétence, d’aptitudes professionnelles, et de gestion financière sont passés de 37 pourcent, pour les plus compétents, à 43 pourcent. De même, la gestion des services de santé et du personnel de santé s’est améliorée. Un participant au programme a démontré ce changement dans la compréhension et le comportement, en déclarant: «Hier, j'ai personnellement envoyé de l'information à tous les cadres supérieurs de notre université et je leur ai demandé d'identifier les risques rencontrés dans le cadre de leur travail afin de développer, plus tard, un registre des risques pour notre université. Et nous avons également encouragé la participation des étudiants à cet exercice
Au terme du projet, les niveaux de compétence, d’aptitudes professionnelles, et de gestion financière sont passés de 37 pourcent, pour les plus compétents, à 43 pourcent. De même, la gestion des services de santé et du personnel de santé s’est améliorée. Un participant au programme a démontré ce changement dans la compréhension et le comportement, en déclarant: «Hier, j'ai personnellement envoyé de l'information à tous les cadres supérieurs de notre université et je leur ai demandé d'identifier les risques rencontrés dans le cadre de leur travail afin de développer, plus tard, un registre des risques pour notre université. Et nous avons également encouragé la participation des étudiants à cet exercice.